
Nocturne 10
Juvénile, tendre, la promesse d’une nuit tranquille sur l’oreiller la joue chaude et candide et l’appel d’un parfum intérieur, celui de l’aubépine et passiflore, une floraison de plis intimes, je cherche ton odorat, je hume, je fouine, tu n’es pas là mais… le vent moteur t’apportera.
f.

nocturne 01
Vingt heures trois. À l’abri du silence croissant j’entends le tram dernier effaceur de pas du jour, me ramène à ton absence tes faux-pas nos tracas, et je pense à demain.
Minuit une. Clin d’œil coquin au réverbère du coin. Ce soir il ne te jalousera. Silence ! Tout fume, et la pluie qui vole en éclat, projection de lune entre les rideaux s’immisçant. Et la pluie qui toujours dégouline ce torrent de toi.
f.
Je ne connaissais pas ce tableau de Magritte, il est très politique. Très jolis textes
Bonne journée
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Contente que vous ayez pu faire une découverte ! Merci pour le mot. Bon week-end ! 🌱☘🍃
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J’ai revu mon étang salé
Méditerranée ma seule patrie
L’Oud et les violons striants les azurs
Mais où etais tu dans les nuits chaudes?
J’aurais voulu explorer sous ta jupe légère
Bons baisers de Marseille ma chère poétesse..
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Merci pour ce verbiage agréable; vos petites lignes me réchauffent.
Bon séjour (au soleil ?) dans le sud, cher H !
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Le silence va recouvrir la terre bientôt
La science de l’organisation où l’on nous presse méthodiquement
Olives noires et vertes
La robe de l’avocat
Nos bâtiments tournesols
Boucheries broyantes
Rasoirs réactifs
Accesoires
Nous n’avons plus peur des momies
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Colorée la nuit
Ta crinière au vent
Pour une danse au pied du parc centenaire…
Aveugles,
Les cailloux.
Honorerez vous la Capitale de votre beauté au cours de cet été Milena ?
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Gare métro musée
Oui
Danser
Le corps entier
Habité
Sur les bords scintillants
Entre cité et verdure
J’approcherai.
Je déambulerai.
Je serai.
Quelques jours
Quelques nuits
… poursuivant une odeur
Celle d’un rêve
Qui sait.
Le parfum d’une crêpe
Mal cuite.
Ou d’un pichet
À une terrasse
La plume en l’air
La jupe au vent
Caressant
L’imaginaire
Déferlant.
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Venez à partir du 26 juillet alors…
Que le désir se consomme net et sans ambages ma douce..
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Les forces noires
Fortes…
Et moi je suis sauvage
Voleur et je pille l’âme des peuples
Ma nuit est un éclair
Ensuite je pleure..
J’ai vu tant de femmes hurlé
Allez vers le fossoyeur
Forestier aimes tu les nuits calines ?
Quand mon enfant s’accroche aussi aux réverbères.
Bon baisers de Lille pas très loin de vous belle plume
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Bons baisers d’un train masqué… la ville qu’on dit lumière sera bientôt mienne.
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À partir de Samedi prochain soit le26 je n’ai plus la garde de mon fils..
Nous pourrons ainsi dévorer quelques crêpes au couchant en regardant la seine..
Et voir Paris scintillante de sa beauté centenaire..
À bientôt jolie plume
H
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Mais la plume se sera déjà envolée… elle va et vogue, toujours masquée, c’est bien dommage… mais c’est qu’il y a du pays à visiter.
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Lou pascalou rue des panoyaux Paris 20
Métro menilontant..
Le cyrano rue biot metro place de clichy Paris 17
La cyanopsitta rue Pasteur à Vitry sur Seine
L’art brut rue quicampoix vers Pompidou
Voilà ma chère…profitez bien
Et si je venez à Bruxelles au cours de l’été…
L’idée fait son chemin…
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Vous pourriez me donner des bonnes adresses où m’installer pour écrire et rêver ?
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Le penty rue de cotte à côté du marché d’aligre metro ledru rollin paris 12..
Voilà les lieux où j’écris moi même…
Sur mes traces ma plume..
Bons baisers de Malo les bains en Flandres française où la bière est excellente avec la mer du nord pour dernier terrain vague..
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Je note ! Et si je passe par là je veillerai à laisser une empreinte de Milena
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Je serai de retour à Paris demain en fin d’après midi sinon…
hicham.dahibi@hotmail.fr si vous voulez prendre l’apéritif..
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J’aurai des obligations demain…
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L’hypocampe est en mer de jade
Bactéries et typhus
Pour les courageux marins
J’ai vu des épaves ce matin
Devant mon café crème et mes cigarettes roulées
Facile je me déleste de l’aspirateur sec
Il y a encore des traces de pétrole ici dans le moderne invaincu
Mais le monde sera bientôt nu
Les survivants priant les statues de bois au Guatemala ou en Isère
Quand résonne le tonnerre
La pirogue voguera
Nouveaux chevaliers
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Belle croisade. J’y participerai.
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Au cours de votre séjour parisien.
Contactez moi il serait dommage que l’on ne se voit pas chère Milena…
Bonne soirée à Paris et J’espère vous voir de mes propres yeux..
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C’est vrai ce serait dommage.
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Dernière recommandation un bar situé rue denoyez juste à côté du bar bouquin…vous demandez le bar géré par Boom boom..
La pinte est à trois euros…c au coeur de Belleville…Kiffer bien Milena.
Paris est magique!!!
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Alice
Belle saison de feu
Comme une robe à fleurs
Dans les vents offerts aux Dieux
Carnassiers et vengeurs
J’étais reparti au Nord
Observer la mer et la pluie
Déguster moules, asperges…
Espace finalement agréable
Comme humer l’odeur du chat blond
Plus forte que celle du tabac qui a séché
Draps confortables d’une rivière au pied d’une montagne
Proche de l’Oural
Et ce passage vers l’Angleterre.
L’Argentine
Qui me fit tant fantasmer autrefois..
Lignes reliées
Enfance sacrée
Avant les listes noires
Les monstres des parkings
Je m’étais juré de plus jamais souffrir
Pour une femme
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Un autre de mes prénoms… mais je ne m’approprierai pas vos mots/maux pour autant. Qui n’a jamais souffert pour un autre ne connaît ni le bonheur ni la misère.
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Veille.
La nuit rivée sur le cadran.
Alice.
Réveillée ivre de la ville.
Rebelle.
Courtise attise l’amant.
Vin.
Liqueur vivace sous emprise.
De toi.
Qui attends amoureux ignorant.
Fou.
Qui sais la souffrance.
Suis.
Le regard qui tend vers l’infini.
Particules.
Tombant dans l’atermoiement.
Gardiens.
D’une forteresse vierge immobile.
Prête.
Pour un siège savant.
Bonne.nuit.
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Une création…ma meilleure de cet été rapport à un échec amoureux cinglant..
Pour te donner l’envie de me voir…
Enjaille toi bien ici
H
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Folow the white rabbit Alice
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Mais je n’aime pas être en retard. Ni avoir les yeux rivés sur des aiguilles
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Venez comme vous êtes…
Mais maintenant à Vitry sur seine
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Il faut vous suivre…
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Pas loin de la gare
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Je vais acheter une bouteille de vin et t’attendre…
Rer C mona ou Romi..
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Carrément. La patience dans l’impatience. C’est beau
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Mais je suis beau ma chère plume venez le découvrir
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Je suis chez moi et je t’attends pour le vin.
Quartier de la gare à Vitry
Mon num:06 45 56 02 50..
Voilà les dès sont jetés..
À bientôt jolie plume J’espère
H
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J’écris depuis mon lit. L’inspiration est hésitante.
Je m’ennivrerai de vos lignes à défaut de votre vigne ce soir.
À bientôt
m.
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Bien c’est noté
Le bonsoir..
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https://m.youtube.com/watch?v=l4wpn2EnjaU
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Mes lignes sont bien peu de choses en vérité..
Si vous le souhaitez voyons nous et point tard le soir si cela vous embarrasse..
J’aimerais juste mettre un visage sur une virtualité..
Après faites comme bon semble ma chère.
Moi aussi j’ai peur de vous décevoir.
Avez pratiquez un des lieux que g cité?
Dites moi et nourrissez vous bien des ondes poétiques véritables ici pour notre confrérie..
Que la nuit te soit douce Milena.
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Bonne nuit Milena
Ton poète Hicham
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La vidéo coupe quand elle commence à chanter. Dommage
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