Réconcilie-moi
dans la trajectoire d’une muse
là où tes prières s’incarnaient sous les arbres
là où tu chantais pour me retrouver
dans les parfums d’hiver, les nuits d’été
aux abords des fontaines de feu
où des lions crachaient de l’or et des baisers
au frais fauve de nos paupières
qui s’aimaient pour de vrai.
f.
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