C’est une journée perdue
Sentiment d’imposture et cris
Le jeu l’essoufflement perdurent
Je suis une ombre qui chemine
Le sourire au vent ne rit plus
L’attente, seulement, et le répit
qui ne veut pas venir
Aux abonnés absent je suis
Dans ce cahier j’épingle
les traits de cette mine
L’ennui m’a trouvé me poursuit
Son écho qui me pèse
Lèvres et yeux se referment
C’est une journée perdue.
f.