Immiscé
Dans ton corps de poésie
J’irai cavaler
pris d’allégresse
Sous tes sabots
Pur-sang de joie
La ferveur de tes mots
qui galopent
font fi des heures
J’apprivoiserai
Ta folie qui se cambre
elle seule à la traîne
qui ne veut pas mourir
Quand la nuit s’endort.

f.


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