amour balade et…

parc BrelLes jardins, les parcs, n’avaient pas peur d’oublier,
EUX.
Même les grenouilles chantaient encore à leurs crapauds notre amour
qui s’est étang promené dans les alentours
Nous, passé quand ?, éteint comment ?, l’avons envoyé balader
Heureusement le printemps. Bientôt l’été.

f.

11 réflexions sur « amour balade et… »

  1. La majorité atteinte péniblement
    Mes capsules jonchent le sol
    A la vingtaine intranquile:
    Les mauvaises poudres inhalées
    Herbes du diable et bouteilles vidées
    J’attendais ma belle
    A qui porter le bouquet d’iris et de glaieuls
    Déguster des chouquettes fraîches sur un gazon anglais
    Hélas, je me suis perdu en chemin
    J’avais arpenté le canal odieux et maltraitant
    Perception des lumières crues
    De la station de l’autoroute inhumaine
    Avant de rejoindre le quartier des trésors
    Et le reste du monde
    Comme une vignette phosphorescente!!!

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  2. Une conduite intérieure grise
    Avec ses fauteuils de cuirs souples
    Bras dessous..Je regarde tes jambes bronzées
    Épanouie, tu ris à mauvaises blagues
    J’ai envie…
    Tes escarpins posés négligemment dans l’entrée
    J’epluche calmement les pommes de terre
    Toi tu poses ta main sur mon épaule
    Suave tu me caresses le torse
    C’est toi qui a modifiée mes yeux maintenant
    Tu le sais.
    Depuis cet ancien tango à la capitale
    Notre nuit impériale
    Enfin, je me sens immortel et puissant

    À bientôt Milena
    Votre dévoué poète Hicham

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  3. Un temps calme un jour avec toi
    Je respire sans ambiguïté
    Aucun virus me compliquant les bronches
    Un thé à la menthe à notre portée
    On s’effleure envieux
    Je t’effeuille gentiment
    A l’écoute de ton corps docile

    J’espère que vous allez bien et que vous gardez le virus loin de vous et des gens que vous aimez.
    Je souhaite aussi ne pas vous lasser avec mes élucubrations.
    H

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    1. Je suis épuisée mais la vie est là à ma porte dans les rues sous vos lignes dans votre prose que j’envie en ce moment… il me tarde d’écrire à nouveau… ce sera quand je respirerai à nouveau… en attendant je m’ennivre. Un peu de rhum. Un peu de rouge. Un peu d’air pur. Et vous lire. Et écouter les extraits que vous soumettez à mes sensibles oreilles.

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