Dans l’insolence de tes mouvements
se glisse une cambrure assassine
qui lente et vive se meut naturellement
et dans ces nuits de givre je les dessine
Murmures d’une beauté furibonde
ondulante d’émoi
s’embrasent à pleine puissance
deux joues en joug
empourprées de jouissance
eaux vives diluviennes coulantes
soif de joie à son comble
f.
