On ne dit pas se tirer mais s’étirer après l’amour.
Nul besoin de souligner qu’un défaut d’accentuation peut gravement nuire à votre relation ou engendrer une circonvexation aiguë des moins les plus inutiles. L’apostrophe, élision somme toute utile quant à elle, servira à éluder la catastrophe. Pensez-y, vous ne vous en porterez que mieux. L’amour est bon pour la santé si l’on apprend à se consumer sans modération. Tout est question d’étirement, de pratique et de respiration.
f.
L’amour, l’amour, tu veux parler de l’acte d’amour, ce besoin de se consumer sans modération, et s’étirer… avant aussi ça fait du bien et c’est signe de bonne santé, après on peut se tirer tout court, pourquoi pas ? ou se tirer une balle dans la tête ou dans le pied c’est une façon de se consumer 😉
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exact 😉 mais je préfère la première option pour se consumer. 😀
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on peut aussi parler de se tirer avant l’amour (mais ça peut nuire au romantisme, voire même à la réalisation du projet)
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Sinon, seul et sans amour, il ne reste plus que le tir à blanc.
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« Du bon usage du vocabulaire », pourrait s’intituler ton article. Et je lui trouve un intérêt majeur, sans rire. Les gens ont tendance à user des mots sans faire attention…un contresens est vite fait ! ;-)) Et si je te dis : viens, on va tirer ensemble à la salle. Dans ce cas, on peut s’étirer avant (recommandé !) et après aussi, d’ailleurs…et l’on peut également se tirer après, chacun de son côté. Et remettre les fleurets dans les sacs 😉
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merci beaucoup ! j’apprécie votre regard sur cet article 🙂 bonne fin de journée,
f.
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