Ne pleurons pas Notre-Dame.
Échafaudage culturel et historique de notre humanité,
Œuvrons à son éternelle construction.
Prière pour éloigner les affres du feu de Saint-Elme
Et j’ajouterai ton nom
En haut de l’édifice
Comme un cierge qu’on allume
Pensant qu’il brûlera
Et nous donnera un fils
Les cœurs pour toujours enflammés
Énergies palamites
De grâce je veillerai
Sur nos promesses tacites
Et gloire à Notre-Dame
Notre amour ineffable
Gravé dans le vitrail
Forgeant les rosaces éternelles
Nos entrailles de chêne
Voûtant l’éternité
Et tu rebaptiseras
Celui que tu fus au passé
Couronnant le présent
Glorieuse relique dorée
Et ainsi renaît l’homme
Essence divine
La passion retrouvée
f.
crédit image : francebalade
Gravure représentant Notre Dame de Paris au milieu du XIXème siècle, avant la restauration de Viollet le Duc, la flèche est absente
La plume fragile 
Reconstruction ? Relèvement ? Rétablissement ? Réédification ?
Bon, après cette anormale élévation de température, on aurait presque envie de croire que Notre-Dame de Paris demeurera éternellement ressuscitable !
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c’est le cas, non ? La Belgique est déjà sur le coup ! quelques poutres, quelques clous (reste ceux de notre amis JC -ouf!) et voilà ! c’est reparti pour un siècle.
Moi qui ne suis pas croyante, j’ai la foi en la capacité de l’homme à construire, bâtir, édifier sans relâche et recoller les morceaux de son patrimoine pour le conserver ad vitam.
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J’aime me promener sur votre blog. un bel univers agréable. Blog intéressant et bien construit. Vous pouvez visiter mon blog récent. A bientôt.
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Bonjour Mélina, je vois votre message un peu tard, excusez-moi, il se baladait parmi les indésirables. Merci beaucoup. Je ne manquerai pas d’aller voir ce qu’il y a de beau à lire et à voir chez vous.
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Je sens le cramé dans mes combles c’est le moment pour me barrer dans mon arbre et manger des bananes tout un art… au retour on me filera p’tete des milliards !
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Oui le milliard… quelle folie. Et l’environnement, l’éducation, la misère dans le monde… ça brûle ça brûle mais pas de fonds ni de convictions assez fortes pour sauver ce qu’il reste à sauver.
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voilà…
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