
Là-haut épiant tapis dans les cimes
Il se trouvait fourbe guettant le moindre signe
Fomentant pour commettre son crime
Entendre l’écho perçant du chant du cygne
De là-haut il a tout contemplé
Les yeux avides le ventre affamé
Comme épris de vertiges il s’est envolé
Prêt à se servir prêt à la dévorer
Ont retenti des cris écoeurés et repus
Le gosier rassasié la langue bien pendue
Une mise à mort condamnant la mise à nu
Sous un ciel mouvant la proie laissa sa mue
f.
Une réflexion sur “La charogne”